REMERCIEMENTS
L 'édification des églises autant que leur histoire n'est pas l'œuvre d'un seul et même ouvrier. De même, l'élaboration de ce livre, ne peut être le travail d'une seule et même personne. L'appui efficace des uns, la collaboration des autres et les encouragements sans cesse prodigués, m'ont permis d'amener ce travail à son terme. Que chacun soit ici remercié.
Mgr Jean Rocacher, pendant quinze années, m'a fait bénéficier de son enseignement à l'Institut Catholique de Toulouse.
Au cours de voyages d'études, il m'a appris à lire les pierres ». Ma reconnaissance envers lui est grande, et je souhaite que son projet d'Histoire des églises du diocèse de la HauteGaronne puisse rapidement arriver à son terme.
Le livre de Sylvie Malary : Le canton de Revel en Lauragais, de l'Antiquité à la fin du Moyen Âge a été une source riche et incontournable, tant les sujets se complètent.
A chaque page, des éléments historiques de base m'ont permis d'articuler l'histoire des églises et chapelles sur l'histoire même de l'occupation des sols. Que Sylvie Malary soit particulièrement remerciée de m'avoir permis de puiser dans son travail.
Vis à vis de Jean Vigouroux et de Réginald Sorbara, j'ai une lourde dette de gratitude. Si Jean Vigouroux a su me stimuler, me remotiver dans les moments de lassitude, Réginald Sorbara a participé à la composition et la mise en page du texte. Ils n'ont pas ménagé leur temps, ni leur peine. C'est à eux que je dois, et vous aussi cher lecteur, un ouvrage clair, et attrayant. Qu'ils trouvent tous deux, ici, le témoignage de mon admiration et de mon amitié.
Les archives départementales de l'Aude, de la HauteGaronne et du Tarn, les archives municipales de Castres et de Toulouse m'ont été de précieuses sources. Que tous ceux et celles qui ont aiguillé mes recherches, soient remerciés de tout cœur.
Après les appels lancés aux municipalités du Canton, j'ai reçu une aide précieuse de plusieurs d'entre elles.
Je remercie, en particulier, messieurs les maires de Bélesta, Juzes, Nogaret, Revel, Roumens et Vaudreuille. Ils m'ont livré leurs archives et communiqué leurs informations avec beaucoup d'intérêt pour cette recherche.
Madame Isabelle Coutureau, maire du Falga, a été la première à s'intéresser à ce travail. Ses connaissances en histoire, son amitié et ses relations avec les différentes municipalités ont largement facilité mes recherches.
Je ne veux pas oublier les secrétaires de Mairie : Roselyne Bousquet et par elle, Monsieur Noël Batignes et celles de Montégut-Lauragais, Saint-Félix et de Vaudreuille.
Monsieur Jean Hébrard de la Société d'Histoire de Revel Saint-Férréol m'a guidé dans le dédale des Archives Municipales de Revel.
Il m'a aussi fourni des documents et des références intéressantes qui m'ont permis d'enrichir l'histoire et l'archéologie. Sa connaissance de la ville de Revel, son érudition et sa mémoire sans faille ont fait de lui un interlocuteur averti, accueillant, riche d'une histoire qu'il n'a pas fini d'explorer.
Par lui, j'ai pu rencontrer Victor Collado, étudiant à l'Université du Mirail, qui a eu l'amabilité de me communiquer son mémoire de maîtrise présenté en 1997 : Le cadre de vie à Revel au XVIIIe siècle.
Cet important travail a été une source de renseignements de grande importance.
Je voudrais enfin dire un merci très chaleureux aux équipes du chantier de Saint-Pierre de Calvayrac. Merci pour leur accueil, leur écoute, pour les réponses qu'ils m'ont données. Ils mettent tout leur talent et leur ardeur pour redonner à ce petit édifice l'aspect extérieur qui convient. Ils ont su défricher son architecture passée, m'expliquer ce qu'ils avaient découvert et recueillir avec respect les ossements que la chapelle abritait.
Je remercie aussi :
Monsieur Joseph Lux de La Jalabertie et sa femme ;
Monsieur Patrice Béthune m'a communiqué des documents majeurs ;
Monsieur l'abbé Giordano m'a évité quelques erreurs ;
Monsieur René Desplats a relu le manuscrit ;
Madame Colette Rème a travaillé aux archives avec moi.
À chacun de vous, cher lecteur, je dis ma joie de vous offrir une idée, la plus vivante possible, de ce que fut la vie de la chrétienté dans ce coin de Lauragais, terre de foi.
Les églises sont les bornes
kilométriques des routes
de la chrétienté.
Elles sont belles, partout.
Charles Morice