PRESENTATION GEOGRAPHIQUE

 

plateau-du-causse-vue-aerienne

Le plateau du Causse au dessus de Soréze. On remarque l'alignement des dolines dans les joints de strates subverticales

 

I. LA MONTAGNE NOIRE

La Montagne Noire constitue la bordure sud-ouest du Massif Central Français (M.C.F.). Elle se rattache au massif par l'intermédiaire du Rouergue et de l'Albigeois.

La définition du territoire occupé par le M.C.F. sera différente suivant les géologues et les géographes. Les limites données par les géographes sont plus restreintes, pour eux c'est la zone représentant uniquement l'extrémité tout à fait méridionale du Massif Central Français. Située au sud du sillon du Thoré (le Thoré est un ruisseau qui prend naissance près de Courniou dans l'Hérault), elle est composée par les massifs de Note, du Minervois, du Cabardès et du Sorézois.

Les géologues en revanche l'étendent à un vaste ensemble géologique hercynien qui atteint près de 100 km de longueur sur 40 à 50 km de large.La zone des géographes est ainsi élargie vers l'est-nord-est jusqu'au Lodévois et au Larzac. Cette importante zone géologique est limitée par les terrains tertiaires du Carcasses au sud, du Biterrois au sud-est, du Castrais au nord-ouest et enfin par le bassin permien de Saint-Affrique au nord-est... Les terrains cristallins de l'Albigeois relient par un isthme étroit la Montagne Noire au Massif Central Français.

 SOMMAIRE

II. LES MONTS DU SORÉZOIS

La Montagne Noire est constituée de plusieurs unités structurales bien différenciées (Monts de Lacaune, de l'Agout, de Faugère, de Cabrières, du Pardeilhan du Minervois, etc.).

Celle qui nous intéresse directement dans le cadre de cette étude se situe à l'extrémité occidentale, à l'ouest des massifs du Lampy et des Martys.

A l'ouest elle vient chevaucher le bassin de Castres le long d'un accident à pendage sud-est variable - la faille de Mazamet. Cette zone appelée "Monts du Sorézois" se développe du sud-ouest au nord-est dans une étroite bande de 8 km de large sur 25 km de longueur.

Vus de la plaine de Revel et malgré une altitude très moyenne, les Monts du Sorézois dominent les terrains tertiaires du Castrais. Les versants sont assez abrupts et donnent aux reliefs une présence imposante. L'altitude passe de 200m environ pour la plaine à 500m en moyenne pour les plateaux (le point le plus haut culmine à 821m : Montalric).

D'importantes forêts de résineux et de nombreuses vallées encaissées assombrissent les monts, justifiant ainsi son nom de Montagne Noire. Malgré ce nom peu engageant, on aurait tort de croire qu'il s'agit de lieux austères. Pour s'en convaincre, il suffit de partir à la découverte des petites vallées et remonter les ruisseaux aux cours capricieux qui depuis des millions d'années arrachent à la montagne sa matière. Cascatelles, gués, petits canyons, sources ravissent les promeneurs.

Ces vallées, pour la plupart étroites et profondes, entaillent perpendiculairement le relief selon des directions le plus souvent sud-est-nord-ouest. Elles sont parcourues par des ruisseaux aux toponymes parfois évocateurs. Du nord-est au sud-ouest se trouvent les ruisseaux du Bernazobre, de Pissevaque, du Perche directement affluents du Thoré, ceux du Sant, du Thaurou, du Melzic (Baylou - Limatge), des Avaris, d'Aigo Pesado, de l'Orival qui se jettent dans le Sor,

la rivière du Sor détournée en partie vers le Canal du Midi,- le Laudot alimenté par la Rigole de la Montagne qui se dirige lui aussi vers le Canal du Midi, son cours étant régularisé par des Lacs.

Par sa position géographique, cette partie occidentale de la Montagne Noire est un véritable château d'eau naturel, qui alimente plusieurs dizaines de communes, et permet la navigation entre la Méditerranée et l'Atlantique en entretenant un débit nécessaire pour le Canal du Midi.

SOMMAIRE

PRÉSENTATION GÉOLOGIQUE

 

 


Avant de commencer ce chapitre, je voudrais remercier M. Pierre DEBAT qui m'a conseillé et a bien voulu corriger mon manuscrit, qu'il trouve dans ces lignes l'assurance de ma profonde considération. 

 

I. LA MONTAGNE NOIRE

A/ Généralités

- Cette montagne fait partie, comme celle des Vosges, des Ardennes, du Massif Armoricain, du Massif Central Français, des plus vieilles rides de notre globe terrestre. La plupart des roches qui la composent datent de l'ère Précambrienne (ou Archéozoïque) et Primaire (ou Paléozoïque) ; leur âge dépasse les 300 millions d'années (540 millions pour les Monts du Sorézois). Ces formations disparaissent à l'ouest et au sud sous les terrains tertiaires du Castrais et du bassin de Carcassonne.

- L'analyse structurale de la Montagne Noire montre qu'elle est composée par trois zones allongées de l'ouest-sud-ouest à l'est-nord-est. Ces zones se caractérisent et se distinguent par leurs caractères lithologiques, pétrographiques et structuraux.
 

B/ Le versant sud

- Il est composé d'est en ouest par les Monts du Pardailhan, de Cabrières, de Faugères et du Minervois. Les formations sédimentaires s'échelonnent du Cambrien au Viséen ; elles sont impliquées dans une tectonique tangentielle et disposées en nappes charriées et déversées vers le sud.

- De nombreux et importants phénomènes karstiques sont présents mais ne font pas l'objet de la présente publication.
 

C/ La zone axiale

- De l'est vers l'ouest nous rencontrons les massifs d'Anglès, du Lampy-Martys, les monts de Saint-Gervais recoupés par les granitoïdes de Brousses, de l'Agout, de Nore, et de Saissac.

- Cette zone axiale est séparée de la zone septentrionale (versant nord : Monts du Sorézois et de Lacaune) par un accident cassant subvertical.

- Ce domaine axial correspond à un socle induré, composé essentiellement de roches gneissiques et d'intrusions granitoïdes et organisé en une mégastructure anticlinale (anticlinorium) complexe dont les relations avec les nappes du versant sud sont mal élucidée .

 

D/ Le versant nord

- Cette zone intéresse directement la présente publication et fait l'objet d'une étude détaillée.

- En général les terrains sont en épi à mésométamorphiques et s'étagent du Cambrien au Gothlandien. Il faut noter que dans cette partie de la montagne se situent le massif granodioritique du Sidobre à l'ouest et le massif granitique du Mendie à l'est d'âge antécambrien Les Monts de Lacaune et du Sorézois font partie intégrante de la zone septentrionale niais seuls les Monts du Sorézois font l'objet de l'inventaire (de nombreux phénomènes karstiques ezisi eut dans les Monts de Lacaune). Au point de vue structural, la zone est caractérisée par la présence d'écaille, chevauchantes vers le sud-est.

SOMMAIRE

II. LES MONTS DU SORÉZOIS

A/ Généralités

Ces reliefs sont composés d'un important ensemble métamorphique constitué par les gneiss des Cammazes et de Saint- Ferréol encadrés de part et d'autre de formations mica schisteuses et quartzitiques plus connues sous le nom de "schistes X". Vers le nord ouest, la série des "schistes X" se poursuit par deux assises hectométriques de roches volcanodétritiques (blaviérites) séparées par un niveau schisteux et par des formations carbonatées constituant les reliefs de la bordure occidentale surmontant le bassin de Castres.

Définir l'évolution stratigraphique du Sorézois est délicat car les formations de cette région sont réputées comme étant dépourvues de macrofossiles alors que les assises du versant sud sont exceptionnellement riches paléontologiquement et fort bien connues.

PHENOMENES KARSTIQUES

 

Localisation des principaux reliefs calcaires paléozoïques et phénomènes karstiques

(d'après FAVORY et F. GAZELLE - 1982)

 

Pour proposer une chronologie des formations dans le Sorézois nous disposons :

- de données géochronologiques pour les gneiss des Cammazes datés de 530 millions d'années ;

- de la reconnaissance de microfossiles dans les niveaux carbonatés intercalés dans les schistes X (Fournier Vivas) permettant de leur attribuer un âge Briovérien possible.

- d'analogies stratigraphiques avec les formations datées du versant sud ; ainsi les calcaires du Sorézois sont assimilés aux calcaires à Archaeocyathus du Géorgien moyen, et les roches volcano sédimentaires à l'épisode volcanique marquant dans la chaîne hercynienne la fin du Précambrien ou le début du Cambrien.

- des relations structurales permettant de situer certaines formations par rapport à d'autres.

On constate donc que la succession stratigraphique est établie avec une argumentation surtout indirecte. On peut néanmoins proposer l'ordre suivant de la base au sommet:

B/ Les schistes X

Les schistes X sont la dénomination générale d'une série antécambrienne mal située dans l'échelle stratigraphique et composée de micaschistes et de quartzites. Ces roches se caractérisent par leur rythmicité (alternance métriques et décamétriques de mica­schistes et quartzites). Elles contiennent des intercalations carbonatées et silice-carbonatées qui ont livré des micro organismes permettant de dater les schistes X du Briovérien moyen.

Le métamorphisme de contact est bien développé notamment près des massifs granitiques et granodioritiques (comme le granit du Lampy).

C/ Les gneiss

Ils constituent deux affleurements principaux dans le Sorézois

- un affleurement autour du lac de Saint-Ferréol (gneiss de Revel - Saint-Ferréol) ;

- deux affleurements lenticulaires allongés parallèles à la structure générale (les gneiss des Cammazes et les gneiss du Pas du Sant).

Les gneiss de Revel-Saint- Ferréol se présentent sous deux faciès :

- un faciès à grain fin à composition aplogranitique affleurant autour du lac,

- un faciès a grands cristaux (pluricentimétriques) de feldspath affleurant sur la route Revel-Saint-Ferréol.

Ils correspondent à un ancien granit et à d'anciennes pegmatites métamorphisées.

Les gneiss des Cammazes et du Pas du Sant sont des roches à teinte rose caractéristiques à composition de granites à grain fin ou à d'ancien microgranits gneissifiés. Ils contiennent de nombreux filons amphibolitiques. Ils ont été datés à 530 - 520 millions d'années (Hamet - Allègre).

Les gneiss des Cammazes et du Pas du Sant sont actuellement interstratifiés dans les schistes X et peuvent être interprétés commes des sills dans la série briovérienne.

 

D/ Les blaviérites ou porphyroïdes (Briovérien supérieur)

Ces roches interstratifiées dans les schistes X, se présentent comme deux horizons détritiques à matériel volcanique situés au sommet des micaschistes et à la base des calcaires attribués au Géorgien supérieur. Fréquemment désignées sous le none de blavié­rites elles correspondent à un porphyroïde (roche contenant des cristaux automorphes de quartz et de feldspath dans une matière micacée et présentant actuellement une structure schisteuse).

 

E/ Les calcaires et micaschistes (série cambrienne - du Géorgien inférieur à l'Acadien inférieur)

Au-dessus des porphyroïdes se situe une série azoïque essentiellement calcaire et micaschisteuse. Une assise finement détritique de quelques mètres de puissance à la base pourrait représenter le Géorgien inférieur ; elle passe en continuité apparente à un très puissant ensemble carbonaté assimilé aux calcaires a Archaeocyathus. Cet ensemble carbonaté renferme les phénomènes karstiques analysés et étudiés dans la présente publication...

 

coupes-interpretatives

serie stratigraphique

Quelques alternances métriques ou centimétriques micaschistes-calcaires sont présentes à la base des calcaires, nous pouvons les observer "in situ" dans les grottes du Calel et de la Fendeille, l'érosion et corrosion différentielle ayant laissé les micaschistes en relief dans les galeries souterraines. Les phénomènes de dolomitisation sont importants surtout au contact des micaschistes.

Une série détritique à grain fin surmonte les roches karstiques ; elle représente les termes les plus récents des formations de cette région et serait d'âge Acadien inférieur.

Les séries cambriennes constituent deux bandes synclinales parallèles

- le synclinal de Durfort au nord-ouest qui se développe de la forêt de l'Aiguille (près de la route de Saint-Ferréol aux Cammazes) jusqu'au village des Escoussens - ce synclinal est fortement pincé, le pendage des strates étant par endroit subvertical. Le cœur de ce synclinal est constitué par des micaschistes d'âge Acadien jouant un rôle très important sur le plan de la spéléogenèse. Ce synclinal est affecté par des accidents tectoniques d'orientation subméridienne à nord-nord-ouest / sud-sud-est.

- le synclinal d'Arfons est constitué de bandes calcaires très étroites se développant sur plus de 20 km. Ces calcaires sont très métamorphisés (un peu plus que ceux du synclinal de Durfort).

Ces deux synclinaux sont séparés par l'anticlinal des Cammazes (massifs gneissiques des Cammazes et d'Escoussens). Les coupes de l'ensemble donnent une allure de structure monoclinale.

SOMMAIRE

 ÉVOLUTION - GÉODYNAMIQUE - RÉGIONALE

I/ ARCHEOZOIQUE ET PALEOZOIQUE (-l milliards à 220 millions d'années)

- pour les Monts du Sorézois les séries s'arrêtent à l'Acadien (plus de 500 millions d'années).

Dans l'histoire géologique de la partie ouest de la Montagne Noire, les gneiss de Saint-Ferréol et de Labécède au sud-est posent un problème. Ils sont assimilables par leur position aux gneiss du Pic de Nore. Dans cette hypothèse, ils représentent selon certains auteurs un socle à matériel précambrien constitué d'une série méta sédimentaire originellement grésopélitique et carbonatée (coupe des gorges de l'Arnette) recoupée par des granites et des pegmatites.

Les schistes X reposent actuellement sur ces formations et représenteraient le sommet de la série précambrienne (de 4 milliards à -600 millions d'années). Ils traduisent un épisode marin essentiellement détritique fin avec des passées carbonatées.

Antérieurement au dépôt des séries cambriennes, ils sont recoupés par d'importants sills aplogranitiques ou microgranitiques qui deviendront plus tard les gneiss des Cammazes. La série paléozoique débuterait par le dépôt des assises volcanosédimentaires (les blaviérites) en deux épisodes séparés par un épisode de sédimentation détritique fine. Enfin au Cambrien inférieur, on observe de puissants dépôts épi continentaux de carbonates qui représentent donc les formations paléozoïques les plus récentes connues dans le Sorézois.

Au Carbonifère, il y a 330 millions d'années environ, l'orogenèse hercynienne va provoquer dans notre région plusieurs déformations importantes accompagnées de recristallisations.

SERIE-STRATIGRAPHIQUE 

série stratigraphique schématique et interprétative des formations cristallophylliennes de l'Ouest de la Montagne Noire.

 

Les traits structuraux majeurs sont l'acquisition d'une schistosité associée à des plis isoclinaux.

Une deuxième déformation toujours hercynienne déforme la schistosité antérieure et va déterminer des plis à plans axiaux subverticaux notamment dans le Sorézois ; cette phase est responsable de la plupart des plis observables actuellement.

C'est durant cette deuxième déformation qu'intervient la mise en place des massifs granitiques de Brousses et d'Escoussens et granodioritiques des Martys et du Lampy (certains auteurs placent cet épisode postérieurement à la deuxième déformation : 330 à 274 millions d'années).

Un troisième événement tectonique se produit ultérieurement. Des plis en chevrons à plans axiaux subhorizontaux se développent ainsi qu'un phénomène de serrage tardif qui se traduit par des plis de type "kink bands" (les, plans axiaux verticaux sont perpendiculaire à l'allongement général des structures).

Le développement en dôme les gneiss de la zone axiale et la mise en place des massifs granodioritiques semblent avoir été les facteurs déterminants dans la succession des déformations.

 

Il/ MEZOIQUE (70 à 220 millions d'années)

Durant l'ère secondaire et notamment au Crétacé il y a 100 millions d'années environ, les roches sont exondées et immédiatement subissent des phénomènes d'érosion et corrosion sous un climat tropical (chaud et humide). Les sols sont couverts d'altérites. Ces actions se poursuivront jusqu'au tertiaire (Eocène - 55 à 60 millions d'années). Aujourd'hui encore de nombreux témoignages sont présents près de Revel (les paléoaltérites de la région de Dreuilhe sont très connues).

III/ CENOZOIQUE ET QUATERNAIRE (0 à 70 millions d'années)

 

Durant l'Ere Tertiaire, l'histoire géologique locale se déroule dans un milieu continental, où seuls les lacs et cours d'eau seront les éléments hydrauliques. Vers 60 millions d'années, au sud de la Montagne Noire, une vaste dépression subéquatoriale va se créer, dépression qui sera envahie par un bras de mer qui envahira de l'ouest vers l'est toute la région, avec un maximum d'extension entre 55 et 50 millions d'années (les Corbières sont atteintes à l'époque llerdienne). Le Massif Central en revanche est un relief continental. Les nouvelles conditions climatiques vont entrainer les sols et altérites en place du nord vers le sud (seuls ne subsisteront que quelques lambeaux fossiles), qui seront déposés dans les dépressions sous la forme d'argiles à graviers. La partie occidentale de la Montagne Noire n'est pas encore à cette époque un obstacle à leur passage. il existe peut être quelques reliefs plus méridionaux que les points hauts actuels.

Au Lutétien, vers 49 millions d'années, les rivages marins sont rejetés en gros à l'ouest du méridien de Pau. De grands lacs se mettent en place au sud de Castres (plaine de Revel) ainsi qu'au sud de la Montagne Noire, celle-ci paraissant n'être qu'un simple haut fond. Au fond de ces lacs se déposent les calcaires lacustres qu'on retrouve près d'Escoussens Labruguière, le Pont Crouzet. Le "lac de Castres" était très important, les limites connues étaient : de Mazamet vers Graulhet pour la rive nord, et l'est de Toulouse pour la rive ouest. De 47 à 42 millions d'années, l'histoire de ce lac est. marquée par une subsidence permanente de ses fonds (époque lutétienne). Ce lac se déplacera vers l'est-nord-est puis le nord-nord-ouest.

Les derniers 35 millions d'années verront lors de la phase pyrénéenne, la surrection de la Montagne Noire qui prendra la place que nous lui connaissons actuellement. Contrairement à l'hypothèse émise par M. GEZE, les géologues ne pensent pas qu'une surrection importante de la montagne ait eu lieu entre le Lutétien et le Bartonien ; en revanche il est plus probable qu'elle se soit manifestée entre la fin de l'Oligocène et la glaciation mindélienne (Pléistocène). Des rejets ont en effet eu lieu à la limite des glaciations du Mindel et du Riss. De -30 millions d'années à il y a quelques centaines de milliers d'années, les Monts du Sorézois se sont donc mis en place... Avec les roches les plus vieilles du globe terrestre, notre montagne reste un relief assez jeune !

SOMMAIRE

RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES

DEBAT P, 1974 - sur la déformation des gneiss de la Montagne Noire . Toulouse, 468 p., (2l tig., 2 cartes).

FAVORY M., GAZELLE F., 1981 - A1 , 1 li karstique et comportement hydrologique des calcaires primaires dans le sud du Massif Central. Rev. des Pyrénées et du Sud-Ouest, torve 52, fasc. 2, p. 173-198.

 

FOURNIER-VINAS C., DEBAT P., 1970 - Présence de micro organismes dans les terrains métamorphiques précambrien (schistes X) de l'ouest de la Montagne Noire. Bul. Soc. Géol. de France, (7), XII, n° 2, p.351-355.

FOURNIER-VINAS C, 1971 - Recherches de micro organismes dans le Précambrien métamorphique du Sorézois (Tarn). Thèse 5ème cycle,  Toulouse, 60 p., 31 planches, 2 cartes.

GEZE B., 1949 - Etude géologique de la Montagne Noire et des Cévennes méridionales. mémoires de la Soc. Géog. (le France, N.S., torve \\I.\, n' 62, 215 pages, 2 tableaux, 6 pl. hors texte.

MOULINE M.P., 1975 - Du cone torrentiel au grand fleuve - Sédimentation continentale du Crétace inférieur au Néogène dans le Midi de la France. Pub. de l'Institut de géodynamique - Université de Bordeaux III, 110 p., nombreuses photos, plans.

Carte géologique de la France au 1/50 000ème - Carte et notice explicative.

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