Collection LAURAGAIS-PATRIMOINE
Editée par la Société d’Histoire de Revel Saint-Ferréol
Ouvrages en vente à la Société d’Histoire de Revel Saint-Ferréol
Chez Mr. Jean-Charles Pétronio
Société d’Histoire de Revel Saint-Ferréol
10, rue Flandres-Dunkerque 1940
31250 REVEL
Tél.: 05 61 83 53 43
Mail : patrimoine31@free.fr
En vente à la Librairie du Beffroi - Revel 31250
aux offices du Tourisme de REVEL, SAINT-FELIX et SOREZE
Histoire de Montgey LE TEMPS DES ROQUEFORT des origines à la fin du XVème siècle
Par Pierre Bouyssou 2008 Prix de vente : 16 euros 147 pages – abondante iconographie – photos couleur, textes ... |
BOUYSSOU Pierre : « Histoire de Montgey- Tome 1 - le temps des Roquefort (des origines à la fin du XVème siècle Préface de Michel ROQUEBERT. Collection Lauragais-Patrimoine, Revel, Société d'Histoire de Revel-Saint-Ferréol, 2008, 147 p., format A4, nombreux documents photographies couleurs et noirs et blancs, croquis et plans, couvertures illustrées. Nul n'était plus qualifié que l'auteur propriétaire résidant au château de Montgey pour donner cette monographie. Il le fait en historien passionné, mais après avoir médité longuement le moindre aspect tant dans l'étude des origines, qui plonge des racines dans la gaule romaine, l'époque barbare et le haut Moyen âge, que dans l'histoire médiévale avec la famille des Roquefort, la bataille de Montgey, l'empreinte des cathares et leur importance sociale. Les débuts de la guerre de Cent-ans sont évoqués et laissent espérer un autre livre sur Montgey après le XVème siècle Le sommaire : Ie partie : Les origines
Chapitre I : L’origine du nom de Montgey Chapitre II : Les premiers temps Chapitre III : Au temps des invasions
IIe partie : De Roquefort à Montgey : Xe - XIIIe siècles
Prologue : Sources et méthodes Chapitre I : Au commencement était Roquefort Chapitre II : Avant Jourdain III : une ascendance compliquée Chapitre III : Le combat de Montgey Chapitre IV : Jourdain III de Roquefort et sa famille Chapitre V : Les Corneille et autres cousins de Jourdain III Chapitre VI : De Roquefort à Montgey : Hérésie et Inquisition
IIIe partie : La fin des Roquefort : XIVe - XVe siècles
Chapitre I : Un autre évêque de Carcassonne Chapitre II : Les Roquefort de Cuq : une branche à éclipses Chapitre III : Les Roquefort avant la guerre de Cent Ans Chapitre IV : Et vint la guerre de Cent Ans Chapitre V : Les Roquefort s’effacent
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Eglises et Chapelles de la Haute Garonne Le Canton de Revel Par Marie-Agnès Winter
Nouvelle édition augmentée de divers textes et enrichie d'illustrations photographiques de Jean-Paul Calvet. Collection Lauragais-Patrimoine, Revel, Société d'Histoire de Revel-Saint-Ferréol, 2009, 127 p., format A4, nombreux documents photographiques couleurs, noirs et blancs, croquis, plans, couvertures illustrées Aux ferventes recherches religieuses de la précédente édition, aujourd'hui épuisée, cette réédition ajoute des photographies récentes sur un patrimoine souvent en voie de disparition ou même disparu. Les recherches sur nombre de monuments oubliés jettent un jour nouveau sur ce patrimoine qui n'est tout simplement qu'historique (par exemple la chapelle des Vaudreuil à l'église Saint-Martin de Vaudreuille, le chemin de croix de Georges Artemoff à l'église de Revel, ou parfois permettent une véritable résurrection pour les fresques nouvelles de St-Germier de la Pastourie
Ainsi, la nostalgie n'est plus de mise, faisant la place aux joies de la découverte des beaux-arts. Un utile glossaire facilite cette découverte
Prix 15 euros
SOMMAIRE
Préface Remerciements Carte des communes du canton de Revel Abréviations et ouvrages de référence |
Introduction 1. Bélesta : Saint-Jean-Baptiste
2. Falga : Saint-Martin
3. Juzes : Saint-Léger
4. Maurens : Notre-Dame-de-l'Assomption
5. Montégut-Lauragais : Saint-Martin
6. Mourvilles-Hautes
6.1. Sainte-Marie-Madeleine 6.2. Édifice disparu : Rieumajou
7. Nogaret : Saint-Étienne
8. Revel
8.1. Notre-Dame-des-Grâces 8.2. Édifices secondaires 8.2.1. Chapelle de l'abbé Berdoulat à Revel 8.2.4. Chapelle de l'hôpital de Revel 8.2.2. Couffinal : Saint-André 8.2.3. Dreuilhe : Saint-Sernin 8.2.5. Saint-Ferréol 8.2.6. Vauré : Saint-Saturnin 8.3. Édifices disparus 8.3.1. Chapelle des Doctrinaires 8.3.2. Les Jacobins 8.3.3. Notre-Dame-del-Frayssé 8.3.4. Saint-Antoine-du-T 8.3.5. Saint-Pierre de Calvayrac 8.3.6. Chapelle Saint-Roch 9. Roumens : Saint-Jean-Baptiste
10. Saint-Félix-Lauragais
10.1. La collégiale Saint-Félix 10.2. Édifices secondaires … 10.2.1. Cadenac : Notre-Dame-de-l'Assomption 10.2.2. Graissens : Saint-Pierre 10.2.3. La Jalabertie: Assomption de la Vierge 10.2.4. La Pastourie : Saint-Germier 10.2.5. Saint-Roch 10.3. Édifices disparus 10.3.1. Choples : Saint-Étienne 10.3.2. Les Pénitents noirs 10.3.3. Roubignol : Saint-André 10.3.4. Saint-Crapazy 10.3.5. Saint-Prim
11 Saint-Julia-de-Gras-Capou
11.1. Saint-Julien & Sainte-Agathe 11.2. Édifices disparus 11.2.1. Les Pénitents bleus 11.2.2. Saint-Roch
12. Vaudreuille
12.1. Saint-Jean-Baptiste 12.2. Édifices ruinés ou disparus 12.2.1. Saint-Martin 12.2.2. Sainte-Catherine
13. le Vaux
13.1.Saint-Blaise 13.2. Édifices disparus 13.2.1. Saint-Pierre d'Aygats 13.2.2. Glatens 13.2.3. Saint-Sauveur
Liste des archevêques de Toulouse Population du canton de Revel Découpage diocésain du canton de Revel État de rapprochement canton / diocèse Glossaire
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Regards sur Saint-Julia de Gras Capou
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CLEMENT Daniel (et les élèves de l'école de Saint-Julia) - BATIGNES René - MALARY Sylvie -WINTER Marie-Agnès. : « Regards sur Saint-Julia de Gras Capou » Collection Lauragais-Patrimoine, Revel, Société d'Histoire de Revel-Saint-Ferréol, 2009, 67 p., format A4, nombreux documents photographiques couleurs, noirs et blancs, croquis, plans, couvertures illustrées. Etude due à un P.A.E. (Projet d'Action Educative) dans le cadre de l'Education Nationale, qui après une présentation des aspects les plus variés du village, historiques et géographiques, détaille les aspects du patrimoine architectural, dont beaucoup peu connus (les silos, les stèles discoîdales, les peintures sur papier de certaines maisons). La réédition de la monographie de l'instituteur Benjamin Ricalens est la bienvenue, ainsi que celles de Sylvie Malary, Marie-Agnès Winter. L'histoire des cloches par René Batignes nous plonge dans une histoire anecdotique qui rejoint la grande histoire.
Première partie DOSSIER PRESENTE PAR DANIEL CLEMENT ET SES ELEVES
SAINT-JULIA de GRAS-CAPOU ou les élèves de l’école de Saint-Julia se sont intéressés à leur village 1 - Présentation de Saint-Julia Les sceaux de la ville Cloches et clochers L’église Les plaques boucles Agriculture – les foires Les exploitations agricoles – comparaisons Population Les métiers Le rapport des élèves
2 - Le patrimoine architectural du village Métamorphose d’un village Clin d’œil sur l’architecture du village Les portes – la porte d’Auta La porte de Sers Les cartes postales Les moulins Le « pavillon des Roses » Les silos Les stèles discoïdales Des puits et des caves 3 - La monographie de l’instituteur B. Ricalens Deuxième partie SAINT-JULIA DE GRAS-CAPOU – Sylvie MALARY Troisième partie LA VÉRITABLE HISTOIRE DES CLOCHES par RENE BATIGNES .. Quatrième partie SAINT-JULIA DE GRAS-CAPOU par Marie-Agnès WINTER
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Paleville De la PrEhistoire A l’aube du XXI° siècle
Par Maurice de Poitevin 2009 Prix de vente : 15 euros 133 pages – abondante iconographie – photos couleur, textes ...
POITEVIN Maurice de: « PALEVILLE, de la préhistoire à l'aube du XXIeme siècle ». Collection Lauragais-Patrimoine Revel, Société d'Histoire de Revel-Saint-Ferréol, 2009, 135 p., format A4, nombreux documents photographies couleurs et noir et blancs, croquis et plans, couvertures illustrées. Etude très détaillée d'un village de la plaine de Revel. L'étude des modes de faire-valoir a été privilégiée et est menée de façon pertinente avec des notations souvent presque personnelles. L'administration communale et les impositions font l'objet de soins particuliers. Les familles nobles sont surtout consacrées aux de Gouttes, de Las Touzeilles, au détriment de la propre famille de l'auteur et des Terson, Noireterre et autres. L'évolution démographique n'est pas oubliée et prend place avec succès dans les remarquables monographies locales de Puylaurens, Soual, etc.
Le sommaire :
Remerciements de. Maurice de POITEVIN Avant propos du maire de PALEVILLE Préface de Jean Paul CALVET Sommaire Introduction
CHAPITRE I – DE LA PRÉHISTOIRE AUX GALLO-ROMAINS par J. P. Calvet La colonisation de la Plaine. La civilisation Acheuléenne. L’homme de Neandertal. L’Homo sapiens. La révolution néolithique. Les voies économiques. Les Gaulois s’installent à Paleville. La période Gallo-romaine.
CHAPITRE II – LA CHARTE DE FONDATION DE PALEVILLE par M. de Poitevin Le document CHAPITRE III – LA POPULATION Les recensements. Une natalité en baisse. Une nuptialité en recul. Une mortalité constante.
CHAPITRE IV – LE MONDE PAYSAN : TRADITION ET PROGRÈS 1 - Les bâtiments. Les propriétés et les modes de faire-valoir. Les techniques et les pratiques agricoles.
2 - La terre et les ressources. Les céréales. Les plantes sarclées. Les plantes textiles et la sériciculture. Les prairies et l’élevage. La vigne. Les bois.
CHAPITRE V – LES ACTIVITÉS ARTISANALES CHAPITRE VI – LES VOIES DE COMMUNICATIONS Les chemins vicinaux. Le chemin de fer de Castelnaudary à Castres. La Poste.
CHAPITRE VII – LA LUTTE CONTRE LA PAUVRETÉ ET L’IGNORANCE L’assistance. L’instruction Plan de l’école
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CHAPITRE VIII – L’ADMINISTRATION MUNICIPALE ET LES FINANCES A – La Communauté de Paleville sous l’Ancien Régime (1682-1787). Les assemblées du Consulat. Les Consuls. L’organisation financière.
B – La Municipalité aux XIXème et XXème siècles. La vie municipale. La vie politique. Les contributions et les finances municipales.
CHAPITRE IX – LA VIE RELIGIEUSE Document : les curés de Paleville CHAPITRE X – L'ARMORIAL DE PALEVILLE par B. Velay ANNEXES Les principaux aléas climatiques de Paleville. L’état civil de Paleville (1703-1907). État des Consuls (1674-1733). Tableau des impositions dans le consulat de Paleville et tableau comparatif du taux de rétribution du collecteur. Inventaire des biens de la fabrique de l’église de Paleville en 1906. Le château de Las Touzeilles et plan cadastral L'évolution du matériel agricole par E. Grandchamps
CONCLUSION GÉNÉRALE INDEX Des noms de lieux Des noms de personnes Thématique
SOURCES ET BIBLIOGRAPHIE
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La chapelle préromane de Saint-Jammes de Bezaucelle
CALVET Jean Paul et FEDRY Anne : « La chapelle préromane de Saint-Jammes de Bezaucelle (commune de Sorèze – Tarn) ». 50 pages, format A4, très abondante illustration photographique en noir et blanc et couleurs, nombreux plans. Revel, Société d’Histoire de Revel Saint-Ferréol, collection LAURAGAIS PATRIMOINE, 2010.
Les auteurs, qui ont été à l’origine du regain d’intérêt pour cette chapelle de haute montagne, perdue au milieu de la forêt, nous livrent tous les documents que l’on a pu récolter depuis 1940 environ. Les archéologues de métier n’ont pas encore travaillé beaucoup sur ces ensembles architecturaux, à chevets rectilignes et bords arrondis, qualifiés dans le vague «préroman » ou quelquefois « wisigothique » ou carolingien ». Beaucoup reste à découvrir (voir notamment dans l’ouvrage la note encadrée page 13). Le travail, fait par nos deux amis, est donc d’intérêt double : 1 – la préservation d’un site historique riche par son ancienneté - préservation du monument en lui-même et de tout ce qui l’entoure 2 – d’un essai de cadrage historique avec le toponyme Bezaucelle et surtout avec les sites archéologiques voisins de Berniquaut, la tour de Roquefort et l’abbaye de Sorèze.
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L’importance du travail photographique, tout à fait inédit, donne à cette publication une richesse totale, et masque la déception des chercheurs qui ont retrouvé d’émouvants restes au Musée Toulouse-Lautrec, de modeste intérêt archéologique peut-être. Une publication d’un très grand apport historique, véritable corpus de tout ce qui a pu être trouvé sur le sujet ; cela permettra d’autres recherches dans l’avenir, sans doute...
Dernière interrogation : Est-on sûr de l’amalgame trop facile de Saint-Jammes en Saint-Jacques ? Un vrai Saint-Jammes aurait-il existé ?
SOMMAIRE PREFACE
Carte des possessions identifiées de l’Abbaye de Sorèze en 1255
SITUATION GEOGRAPHIQUE
PREMIERS TRAVAUX DE DEGAGEMENT
LA DYNAMIQUE DE PROTECTION ET DE VALORISATION
Action de protection menée de 2005 à 2008
ANALYSE ARCHITECTURALE
La chapelle
S’agit-il d’une chapelle préromane ?
Le « Fagus Sylvatica » TOPONYMIE
La chapelle de Saint-Jammes et les chemins de Saint-Jacques de Compostelle
Montcapel : la montagne de la chapelle
Le patronyme « Bezaucelle »
HISTORIQUE DE LA CHAPELLE DE SAINT-JAMMES
Y-A-T-IL EU DES LIENS ENTRE LE SITE DE SAINT-JAMMES ET LE « CASTRUM DE ROQUEFORT » ?
RITES ET LEGENDES
CONCLUSION
REMERCIEMENTS
LES DOCUMENTS Plan de 1595 (A .C. Sorèze) Plan des bois…(1668 – HDHG) Carte des rigoles alimentant le Canal du Midi (fin XVIIème s.) et carte du diocèse de Lavaur... Détails du compoix de 1747 Plan Catala (1747) Carte « Dillon » 1771 et carte de Cassini (1750 – 1815) Annales de statistique de Ballois (An XI – 1803) Plan et figure géométrique des bois de Montcapel (1827) Cadastre 1833
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES ANNEXES 1/ Sur le patronyme de « Bezaucelle »
2/ Inventaire du mobilier déposé au Musée Toulouse-Lautrec à Albi. Dépôt archéologique Jean Lautier – Jean Claude Balayé
3/ Plans du site 4/ Photos de l’évolution des travaux 5/ Relevé ortho-photo avant travaux (2005)
6/ Fouilles de la Société de Recherches Spéléo-Archéologiques de Sorèze. Année 1952 - Fonds photographique de 1972 (photos aériennes) .
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AUGUSTE de PALEVILLE. Un artiste sorèzien
DENIS Anne-Marie avec la participation de Martine Cuttier, Bruno Devillers et Michel Go : « AUGUSTE de PALEVILLE. Un artiste sorèzien ... et la collection Michel Go ». 98 pages, format A4, broché, couverture illustrée, nombreuses reproductions photographiques le plus souvent en couleur. Revel, Société d’Histoire de Revel Saint-Ferréol, collection LAURAGAIS PATRIMOINE, 2010. Dans cette collection destinée à publier les documents historiques du Lauragais, cet ouvrage est centré sur la figure pittoresque d’un artiste qui a habité surtout Sorèze, la famille Terson venant de Paleville. Anne-Marie Denis, fournit des renseignements d’archives sur la vie de cet artiste peintre qui fut aussi dessinateur de qualité, auteur écrivain et photographe. Ses recherches minutieuses ont levé des incertitudes sur des aspects peu connus de son activité. Si le peintre photographe avait autrefois intrigué notre ami Yves Blaquière, qui lui avait consacré une exposition à la Maison du Parc, dans une petite salle du fond du rez-de-chaussée, en juillet 1993, il restait quelques zones d’ombre qu’Anne-Marie Denis s’est efforcée d’éclairer. C’est ainsi qu’elle lève le voile sur des activités, peu connues, d’Auguste de Paleville.
Il a été journaliste, sans que l’on puisse savoir avec exactitude qu’elles étaient ses convictions intimes politiques. Et enfin elle a découvert un document d’état-civil sur son décès à Toulouse le 21 mars 1898, boulevard de la Gare. Jean Paul Calvet a tenu à publier, le compte rendu de l’exposition de 1993, retrouvé dans nos archives.
Ce compte rendu (il s’agit de notes prises à la volée en style direct sous la dictée de Yves Blaquière), donne une idée des recherches faites par ce dernier, sur un homme qui le fascinait, dont il s’entretenait comme d’un vivant, et dont il détenait, comme un véritable trésor, les plaques photographiques, provenant du grenier de la maison de la rue de la République, certaines étant publiées dans cette revue.
Martine Cuttier s’efforce de le replacer dans le cadre social et politique dans lequel il a évolué. Bruno Devillers reproduit les notes d’Yves Blaquière pour l’exposition Auguste de Paleville à Gourjade, à Castres en fin novembre 1991. En liaison avec les préoccupations photographiques d’Auguste de Paleville, Michel Go donne l’essentiel des plaques retrouvées dans la maison familiale Cammas à Sorèze. Ces photographies, dont beaucoup sont contemporaines d’ Auguste de Paleville, nous font revivre dans le milieu social sorèzien qu’il a pu connaître et sont surtout un complément presque
vivant de l’étude entreprise (les jeux, les mariages, les promenades pittoresques à Sorèze). Au total une étude riche de documents divers (dont certains retrouvés presque par miracle au milieu de plaques de verre piétinées), qui nous fait revivre dans un Lauragais attachant, sur les pas d’un artiste peintre local méconnu, de facture classique.
Préface
Auguste Terson de PalLeville par Anne-Marie Denis………………….. Sa famille Les Terson Les Terson à Palleville Les Terson de Paleville à Sorèze La famille d’Auguste Ses grands-parents paternels Ses parents L’Ecole de Sorèze La vie politique à Sorèze Le journaliste Républicain, antibonapartiste ? LES PROTESTANTS A SOREZE LE JUGE DE PAIX Son installation à Sorèze L’artiste peintre et photographe
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LES DOCUMENTS LOUIS AUGUSTE TERSON DE PALEVILLE par Martine Cuttier L’homme Le photographe Bibliographie
ANNEXE 1 - Exposition sur Auguste de Paleville à Sorèze– juillet 1993 d’après Yves Blaquière, notes prises par Claude Pouzol ANNEXE 2 – NOTE SUR LA SERIE DE TIRAGES ARGENTIQUES de quelques plaques photographiques d’Auguste Terson de Paleville exposées au musée de Sorèze par Bruno Devillers ………… ANNEXE 3 – SUR LES TRACES D’AUGUSTE DE PALEVILLE D’APRES LES TEXTES D’YVES BLAQUIERE (exposition de Gourjade à Castres – 1991) LES LITHOGRAPHIES LA COLLECTION MICHEL GÔ |
SOMMAIRE
PREFACE …………………………………....................... SOMMAIRE (abréviations)………………….................. NOTE DE L’AUTEUR .................................................... AVANT PROPOS .......................................................... INTRODUCTION - CONTEXTE PEDAGOGIQUE.….... CADRE HISTORIQUE ……………………………...........
PREMIERE PARTIE : MONOGRAPHIES ...........
ARFONS ……………………………………………………. ... SAINT-JEAN D'ARFONS…………………………......………… NOTRE-DAME DES ESCUDIES………………….......……… |
DOURGNE ……………………………….......………………. SAINT- PIERRE ………………………………......……………… SAINT- ANTOINE ………………………………........…………… SAINT-CHIPOLI ………………………………............………… SAINT-ESTEPHE……………………………….....……………. SAINT-FERREOL …………………………………......………… LA MONTAGNARIE ……………………………….......………… PARISOT ……………………………………………......……….. …………………………………………......………..
DURFORT ……………………………………….......………… SAINT-ETIENNE …………………………………......………….. LAGARDIOLLE …………………………………….......…………. SAINT-MARTIN…………………………………….......…………. SAINT SERNIN DE LA GASCARIE ……………….........…….. EGLISE FABON ……………………………………….......………
SAINT-AMANCET ……………………………………....….. SAINT-BARTHELEMY…………………………………….....….. SAINTE-MADELAINE……………………………………....…….
SAINT-AVIT………………………………………............…… SAINT-VALENTIN………………………………….......………… VILLENOUETTE ……………………………………........………..
SOREZE…………………………………………….........……. SAINT-MARTIN………………………………………….........… LA BOLBENE ………………………………………………......... SAINT-ELUTHERE ………………………………………......... SAINT-MICHEL………………………………………….........…… SAINT-JACQUES DE BESAUCELLES…………………...........
SOUAL ……………………………………………………......... SAINTE-SIGOLENE…………………………………………........ SAINT-PIERRE DE L'ESTAP………………………………......... SAINT-SATURNIN D'ASSOUALET ……………………….......
VERDALLE ………………………………………………......... SAINT-JEAN BAPTISTE……………………………………......... CONTRAST …………………………………………………..........
DEUXIEME PARTIE SYNTHESE
1. L'ARCHITECTURE RELIGIEUSE DANS LE TARN A. Eléments de comparaison Saint-Martin de Sorèze. ……………………………….........… La collégiale Saint-Salvi d'Albi.…………………………......... La cathédrale Saint-Alain de Lavaur. ………………………... B. Une famille architecturale dans le Tarn……………...........…
2. APRES LE MOYEN-AGE A. Les Temps modernes ……………………………………….... B. Le XIXème siècle ………………………………………..............
3. L'OCCUPATION DU SOL A. La toponymie …………………………………………......…… B. Vocables et hagiotoponymes …………………………......... C. Les données archéologiques …………………………..........
CONCLUSION ……………………………………….........…
BIBLIOGRAPHIE ……………
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DEODAT DE SEVERAC
SOMMAIRE
Colloque DÉodat de SÉverac Calendrier des manifestations Le concert Liste des intervenants
PREFACE par Martine Cuttier MESSAGE de Roberto Benzi UN GRAND REGRET
DÉODAT DE SÉVERAC OU LA GÉNESE D’UN COMPOSITEUR
Les origines de DÉodat de SÉverac, un parcours complexe par Martine Cuttier Origine sociale Un citoyen engagé Un fils de la noblesse Le mariage de l’héritier Le mode de vie Sources Bibliographie ....
DÉodat de SÉverac, la formation initiale à l’École de SorÉze Par Philippe DAZET-BRUN
I. De la troisième à la classe de philosophie II. Portrait d’un élève III. Le membre du « portique »
DÉODAT DE SÉVERAC – ANCIEN ELÉVE DE SOREZE « Ce qu’il reçu. Ce qu’il laissa. La vie musicale à l’Ecole fut-elle marquée par son passage ? » Communication du Père André GOUZES
Déodat de Séverac : un engagement occitan Par Jean-Jacques Cubaynes Directeur du Festival Déodat de Séverac (novembre 2009)
Introduction : quel est le lien de Déodat de Séverac avec la culture occitane ? Héritier d’une race
Héritier d’un modèle culturel . En famille à la campagne . Le modèle gréco-latin . Frédéric Mistral . L’homme méditerranéen . Militance et engagement – les milieux régionalistes . Réflexion . Voilà l’ennemi est nommé, c’est Paris ! . Action
. La grande Occitanie transpyrénéenne du haut moyen âge (Occitanie et Catalogne) devient territoire, cœur de l’œuvre.
Séverac s’accomplit désormais pleinement en homme méditerranéen . Son don à la cause occitane – ses œuvres en langue d’Oc . Flors d’Occitània . Autres œuvres . Œuvres en catalan . La valorisation de la culture traditionnelle . Personnalité emblématique . La Ligue « Oc » : Séverac géniteur d’Oc et du mouvement occitaniste . Délégué du Roussillon . Legs et héritiers . Hommages . Les contemporains . Les héritiers . Actualité DÉODAT DE SÉVERAC ET LA POESIE. Par Jacques Arlet
1. Déodat de Séverac poète 2. Déodat met les poètes en musique 3. Déodat de Séverac et ses amis poètes. L’entourage de Déodat de Séverac ......................................................
Les amitiÉs artistiques et mondaines de la pÉriode parisienne de DÉodat de SÉverac, A la lumiEre de quelques lettres inÉdites . Par Catherine Buser Picard
I. Les amitiEs de la « Schola » . A/ Vincent d’Indy . B/ Charles Bordes . C/ Blanche Selva . D/ Albert Roussel . E/ Isaac Albéniz II. LES SALONS ET CERCLES ARTISTIQUES PARISIENS . A/ Maurice Ravel ............................... . B/ Ricardo Vines . C/ Cipa et Ida Godebski . D/ Louis Hasselmans
III. LES RELATIONS PROFESSIONNELLES |
L’UNIVERS PICTURAL DE DÉODAT Par Jean-Bernard Cahours d’Aspry
Un musicien paysagiste La peinture et les peintres dans la vie de Déodat de Séverac Déodat à la Libre Esthétique Les Apaches La « Bande à Picasso »
DÉODAT DE SÉVERAC, RICARDO VINES ET LEURS AMIS DE FONTFROIDE Par Jean-Bernard Cahours d’Aspry Mistral, de Séverac à Fayet Les séjours de Viñes et Séverac à Fontfroide
L’OEuvre musicale de DÉodat de SÉverac
ANALYSE DES OEUVRES POUR PIANO ET DES COMPOSITIONS INEDITES Par François Xavier Sinniger
Introduction Prise de possession des lieux dans la plupart de ses pièces L'idée de carte postale L’usage des modes Mode de « la » Mode de « si » Mode de « do » Mode de « ré » Mode de « mi » Mode de « fa » Mode de « sol » Ambiguïté entre les modes de « fa » et de « sol » Effets de cloches
Effets de boîte à musique Gamme par tons Mode 2 à transposition limitée L’influence espagnole Justification pour apporter quelques modifications aux œuvres de Séverac et même pour en terminer certaines afin de faire revivre la mémoire du compositeur « Mélodie » ou « Méditation » pour violon et piano » « Coin de cimetière au printemps » ............................. « Interpolation au « Christ de Llivia » La Cargolade Notes
HEliogabale de DÉodat de SÉverac : une OEuvre atypique ? Par Ludovic Florin
1. De l’authentique Déodat 2. Approfondir une démarche musicale 3. L’élaboration formelle 4. Conclusion
Du piano avant toute chose. Les mélodies de Déodat de Séverac. Par Michel Lehmann
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- SOMMAIRE - AVANT PROPOS - LA BASTIDE EN GÉNÉRAL - Etymologie - Bastide (ville) - DEfinitions d’une Bastide - LIEUX D'IMPLANTATION DE BASTIDES
- PHASES DE FONDATION DES BASTIDES Préhistoire du mouvement (1144-1229) Période Alphonsine (1249 – 1271) De 1271 à 1290 De 1290 à 1350-1370 Situation au XIIème siècle Situation géographique Situation sociale Situation politique Situation religieuse Paysage urbain La propriété du sol Une nouvelle vision du monde ÉlÉments d'une bastide La place Rôle de la place Place à couverts Halles Murailles Maisons Rues Types de terrains Ayrals Jardins Vignes Arpents Plan de bastide Charte des coutumes Évolution des bastides Autres bastides Charte de la fondation de la bastide de Revel
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PAGES D’ACCUEILS Page de présentation (p. 1) Présentation Lauragais Patrimoine et Société d’Histoire (p. 2) Présentation anciens combattants du Grand Lauragais, Albigeois (p. 3) Remerciements (p. 4) Sommaire (p. 5 et 6)
CHAPITRES CHAPITRE I - LA COLONISATION DE L’INDOCHINE (p. 7 à 16) 1 – La conquête (p. 9) 2 – L’administration et la mise en valeur (1897-1940) (p.10) 3 – Les débuts du nationalisme vietnamien (p. 14 à 16) CHAPITRE II - LA NAISSANCE D’UNE GUERRE (p. 17 à 26) 1 – La Seconde Guerre mondiale : la rupture (p.17) 2 – L’année 1946 ou les occasions manquées (p. 21) CHAPITRE III - DES ANCIENS COMBATTANTS DE LA GUERRE D’INDOCHINE PARLENT (p. 27 à 31) CHAPITRE IV - « VERS LA GRANDE AVENTURE » (p. 32 à 36) CHAPITRE V - LES VILLES ET LE CONTRÔLE DES AXES DE COMMUNICATIONS (p. 37 à 48) CHAPITRE VI - LA MARINE, L’AVIATION ET LE SERVICE DE SANTÉ (p. 49 à 60) CHAPITRE VII - LA GUERRE DES POSTES (p. 61 à 80) CHAPITRE VIII - LE TOURNANT DU CONFLIT (1948-1950) ET L’ARRIVÉE DU GÉNÉRAL DE LATTRE (1951) (p. 81 à 88) CHAPITRE IX - LA GUERRE DE MOUVEMENTS (1950-1954) (p. 89 à 103) CHAPITRE X - DU DRAME DE DIEN BIEN PHU AUX CAMPS DE LA MORT (p. 104 à 121) CHAPITRE XI - LES CAUSES DE LA DÉFAITE (p. 122 à 127)
CONCLUSIONS p.128 à 132
ANNEXES p.133 à 156 ANNEXE 1 : Document fourni par Monsieur GASNES Guy à Montmorillon (86) - Objectif : BA-XA (p. 135 à 138) ANNEXE 2 : Document fourni par Monsieur GASNES Guy à Montmorillon (86) - Groupe de Chasse « Cigognes » (p. 139 à 141) ANNEXE 3 : Document fourni par Monsieur GASNES Guy à Montmorillon (86) - Récit du sous-lieutenant MEUNIER (p. 142 à 144) ANNEXE 4 : deux poèmes REVERIE et NOSTALGIE de François NECAS, Ancien combattant d’Indochine (Mars 2011) (p. 145 à 146) ANNEXE 5 : questionnaire sur des anciens de la GUERRE D'INDOCHINE (p. 147) ANNEXE 6 : dossier du témoignage de Pierre CARRIERE (relevés brut et présentation par Edith GRANDCHAMPS) (p. 148 à 155) ANNEXE 7 : le Mémorial de Fréjus (p. 156)
INDEX INDEX 8 : chronologie (p. 158 à 159) INDEX 9 : sources et orientations bibliographiques (p. 160 à 164) INDEX 10 : des noms de personnes (p. 165) INDEX 11 : des noms de lieux (p. 166) INDEX 12 : thématique (p. 167 à 168) |
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POURQUOI CERTAINS OBJETS SONT-ILS ÉTAMÉS ? LE LAITON POURQUOI LE CUIVRE EST-IL MOINS PRÉSENT DANS NOS MAISONS ? L’ENTRETIEN DES OBJETS EN CUIVRE CONCLUSION REMERCIEMENTS |
Histoire de Durfort
La Chaudronnerie LE TRAVAIL AU MARTINET Plan du martinet de la Claverie Perspective d’un martinet - LA FONTE DU CUIVRE - LE FONCTIONNEMENT DU MARTINET (marteau-pilon) - L’ÉVOLUTION D’UNE PIÈCE AU MARTINET - LA FINITION DE LA PIÈCE À L’ATELIER Le récurage Le façonnage L’écrouissage et le bordage LE TRAVAIL À LA FEUILLE - La rétreinte - La brasure à la forge - La soudure - Le tour à repousser - Le ciselage - L’étamage
En vente au Musée du Cuivre de Durfort (Tarn)
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A l'occasion de l'exposition mise en place par la Société d'Histoire de Revel Saint-Ferréol dans l'Eglise Notre-Dame des Graces de Revel uneparution format poche de l'historique de l'église a été éditée. Cet ouvrage reprend l'histoire de Notre-Dame des grâces à travers les âges. De nombreuses photos et plans retracent cette histoire.
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Préface |
Les industries Raucoules
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Jean-Michel DOUDIES ARFONS et RAMONDENS : DES HOSPITALIERS DE L’évolution du bourg, de son espace rural et forestier entre le XIIème siècle et la fin du XVIIIème. La publication de ce mémoire est l’acte fondateur de « Ora fontium » (Société d’Histoire Arfontaise) : Format 21 x 29,7 – 329 pages – pages couleurs – nombreuse iconographie SOMMAIRE Chapitre II : Saint Dominique et la création de Notre-Dame de Prouilhe Chapitre III : La formation du fief de Ramondens - Les acquisitions de la famille de Grave Chapitre IV : 1300–1348, un demi-siècle d’essor - Quelques mots sur l’organisation administrative locale Chapitre V : 1348-1562, les années noires - Orfons et Ramondens, situation générale après 1355 Chapitre VI : L’organisation administrative des diocèses et les Etats Généraux de la province du Languedoc - Les Etats Généraux Chapitre VII : Le XVI ème, siècle des guerres de religion - Chronique des évènements qui se sont produits dans et autour de la Chapitre VIII : Où l’on reparle de la descendance de Jourdain de Saissac, de la Baronnie de Lagardiolle et des seigneurs de Foix-Rabat |
Chapitre IX : Les grands bouleversements du XVIIème siècle - Le conflit concernant la forêt de Ramondens, qui a opposé Notre-Dame de Prouilhe et la seigneurie de Saissac : 1608-1609 Chapitre X : Arfons au début du XVIIIème siècle - Le nouveau compoix d’Arfons du 22 mars 1698 et les plans terriers Chapitre XI : Registre des délibérations de la communauté et consulat d’Arfons - Les Arfontais devant l’impôt Chapitre XII : XVIIIème siècle : les décennies qui conduisent à la révolution - La gestion de la forêt de Ramondens et le problème des coupes de bois Chapitre XIII : de 1789 et la révolution à 1792 et la destruction du monastère de Prouilhe - Cahier de doléances, plaintes et remontrances de la communauté d’Arfons, dans la Montagne Noire, au diocèse de Lavaur Annexe I : Une histoire de bornes. Annexe II : Les armoiries du Monastère de Prouilhe. Annexe III : Verres, verrriers et verreries dans le secteur d’Arfons. Bilbiographie |
PREFACE POSTFACE |
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Réédition de la parution de 1988 Un ouvrage de 226 pages dont 80 sur l'historique du mouvement spéléologique dans la Montagne Noire. De l'époque préhistorique à nos précurseurs pour parvenir à nos jours.
et 140 pages dédiées à l'inventaire proprement dit recensant les cavités de la Montagne Noire le tout agrémentés de nombreuses photos.
Un aperçu de l' |
Michel Gô nous fait traverser les âges pour aboutir au Dourgne de nos jours à travers l'histoire de ce pays et de ses habitants.
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LES ARTICLES LIES SUR LE SITE |
Parution Mars 2014
Un ouvrage de 300 pages retraçant le parcours du Corps Franc de la Montagne Noire depuis sa création jusqu'à son incorporation en unité combattante. |
Les manifestations des journées du 70ème Anniversaire de la résistance
Un dvd de 2h45 d'Emile Gaubert "Sur les pas du Corps Franc de la Montagne Noire" retraçe l'histoire du Corps Franc de la Montagne Noire avec plusieurs témoignages d'anciens du Corps Franc. |
Ouvrage format 21 x 29.7 sous couverture pelliculée couleur carré |
Revélois, fils de forgeron, né en 1840 route de Soréze dans le quartier de La Barque, Augustin Avrial était resté inconnu de la plupart des historiens… Augustin se lance aussi dans les projets du métro parisien – il soutient l’idée d’un métro aérien. Il se spécialise pour les tramways électriques … |
Le docteur Félix Carrade a exercé à Revel pendant plus de trente ans, de 1926 jusqu'à sa mort en 1957. Il est un médecin généraliste apprécié de ses malades et estimé de la population. Il siège au conseil municipal de la ville, d'abord comme premier adjoint puis comme maire.
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Ouvrage format 21 x 29.7
sous couverture pelliculée
couleur
carré |
CAHIER de L’HISTOIRE de REVEL Gilbert Larguier - L'or blanc au Pays de Cocagne laine et pastel en Lauragais dans la première moitié du XVIe siècle
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Il faut sauvegarder et savoir "exploiter" les archives privées |
Lien vers les publications des « CAHIERS DE L’HISTOIRE DE REVEL » Parution annuelle ...
La Capitale du Meuble d'Art. Revel, Versailles du meuble l |
Un sourire fiché sur un cliché jauni, il n'en faut souvent pas plus pour éveiller une mémoire et ouvrir la boîte aux souvenirs. Pensez-donc, plus de 100 ans de football à Revel, qui se souvient ? |
Histoire du PIPPERMINT GET Un présent sans passé est un présent sans avenir. |
- si les points forts qui faisaient de cette création artisanale une géniale découverte n'avaient sans cesse tendu vers une amélioration constante : apport des nouvelles technologies de pointe sur le plan de la fabrication, innovation dans l’aménagement de locaux relevant d'un taylorisme avant-gardiste...
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« Sorèze de ma jeunesse », tome II, Tirées de mes souvenirs d’enfance ou racontées par des personnes les ayant vécues, ces histoires avaient été rapportées simplement, sans aucune prétention littéraire. À ma grande surprise, elles ont éveillé chez certains le rappel d’anecdotes tout aussi fantasques de leur propre jeunesse. Les conter était leur donner une seconde vie et accéder ainsi à la nombreuse demande de ceux qui espéraient une suite aux premiers récits. Au fil des jours, au gré des rencontres, j’ai encore écouté des amis ou de vieilles connaissances me narrer dans le détail, parfois dans notre patois lauragais variante de l’occitan traditionnel, des aventures ignorées, drôles et souvent cocasses. Comme le dit fort justement le journaliste Bernard Lagarde, ces histoires sont celles d’une vie, celles de vies, celles de tant de gens ordinaires ou extraordinaires qui peuplent nos villages. Avant qu’elles ne s’éteignent avec la disparition de leurs derniers dépositaires, elles sont à porter au crédit de la mémoire collective car elles relèvent toutes du patrimoine commun. Au long des pages, vous allez ainsi retrouver des personnages singuliers qui vous ont peut-être été familiers, dont vous avez entendu parler ou que vous avez même connus. Je ne peux que redire ma réelle et affectueuse sympathie à l’évocation de ces souvenirs desquels est exclue toute moquerie. J’ai cru bon d’y inclure aussi quelques épisodes d’un passé sorézien moins réjouissant mais qui sont à porter tout autant à l’histoire du village. J’ai ainsi puisé dans le Catharisme ou la période d’occupation de la Seconde Guerre mondiale deux récits qui, en se fondant dans le creuset de la mémoire, ont forgé au travers de l’engagement ou du sacrifice de nos gens quelques unes de nos Grandes Résistances. Comme sans son Abbaye-école, Sorèze ne serait pas tout à fait Sorèze, je lui ai consacré quelques nouvelles lignes de même que dans l’ouvrage précédent. Je souhaite et j’espère que vous éprouverez un plaisir à le découvrir au moins égal à celui que j’ai mis à l’écrire. |
Après « l’Abeille de Napoléon » voici le destin de notre Las Cases, si bien décrit comme toujours par Jean Pierre Gaubert. ! Cette biographie parcourt son enfance dans le petit manoir familial près de Revel, puis sa jeunesse studieuse à Paris, avant son parcours de marin du Roi, comme tant d’autres Tarnais. Au cours de ses Campagnes souvent ignorées, il rencontra aux Antilles Joséphine Tascher. Puis arrive le tonnerre de la Révolution qui va tout bouleverser : les diverses émigrations, la pauvreté et la misère, enfin la Belle Époque auprès de sa chère Lady C., l’aisance avec l’édition de l’Atlas, et le retour en grâce via le Petit Trianon. Francis Carrade Président fondateur Réalisateur de la stèle érigée en 1995 |
Professeur de Lettres au collège de Revel, désigné le 22 août 1944 comme Président du Comité local de Libération par le Commissaire de la République, Roger Sudre est élu Maire de Revel le 28 mai 1945 et Conseiller général le 23 septembre 1945. Il dirige la ville jusqu'au 7 mars 1974, date à laquelle il se démet de ses fonctions. Cet ouvrage est le récit de sa gouvernance pendant ces trente années qui se confond pour une large part avec l'histoire de Revel, avec les réalisations qui ont marqué les mandats accomplis par les Conseils municipaux successifs et avec les changements des modes de vie pendant cette période appelée les Trente Glorieuses. Sont ainsi restitués les faits majeurs et les péripéties de la vie politique locale caractérisée par une longue une stabilité. On ne pouvait non plus ignorer l'aspect politique puisque ce sont les élections qui rythment les différentes étapes de la vie communale. Conseiller général, l'action de Roger Sudre dépasse les limites de Revel pour s'étendre à celles du canton et même bien au-delà. Son rôle déterminant pour mener à son terme un projet dont il est incontestablement à l'origine - le barrage des Cammazes - en est l'illustration la plus éclatante : une œuvre exemplaire qui a transformé le visage du Lauragais. Fondées sur une documentation riche, inédite, soit officielle, soit privée, ces pages montrent concrètement comment Roger Sudre a su, dans tous les domaines abordés, permettre à la ville de Revel et à ses habitants de s'inscrire dans cette « révolution invisible » et d'y jouer parfois un rôle précurseur. A partir de ces éclairages, on pourra mieux comprendre cette époque et mesurer ainsi ce dont nous avons hérité. |
La Société d’Histoire de Revel-Saint-Ferréol s’est grandement impliquée dans la commémoration du Centenaire de la guerre 14-18. (Une grande exposition en Novembre 2014 à la salle Claude Nougaro de Revel préfigurait les manifestations de 2018). Lors de cette semaine du 11 novembre 2018, de nombreux événements tels que conférences, expositions, projections de films, concerts, lâcher de pigeons vont vous être proposés. |
La ville a été créée En 1342 (1341) Par la volonté du roi Philippe-Vl de Valois qu’il dénomma Revel en signe de gratitude pour son chancelier Guillaume Flote seigneur de Revel (Ravel) clans le Pay-de-Dôme. L’archiviste en chef des Archives Départementales de la Haute-Garonne, Henri Blaquière, écrivait dans les années 1970 : |
Bernard Blancotte crée par ce récit, une œuvre qui nous fait remonter le temps et découvrir sous l’aspect d’un roman une tranche de vie de Pierre-Paul Riquet le concepteur de l’ouvrage du Canal des deux mers. |
Qu’ils y soient nés, qu’ils y aient étudié au sein du Séminaire puis de l’École royale militaire avant qu’elle ne devienne Abbaye-école ou qu’ils y aient seulement habité, ces 200 personnages qui ont marqué l’Histoire ont un point commun : Sorèze.
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Dans ce tome 2 de « l’Histoire de la Bastide de Revel en Languedoc », l’auteur nous présente les événements qui se sont déroulés du début du XVlème siècle jusqu’à la veille de la Révolution. Revel, ville de garnison, dut faire face aussi aux multiples problèmes liés à l’organisatlon et à la logistique Iors des nombreux passages de troupes. Et la population était souvent forcée de composer avec tous Ies désagréments que cela pouvait comporter.
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Jean-Benoît Decorsière naquit, il y a quelques décennies, à l'hôpital de Revel. Il est l'un des descendants « Get-cadet », c'est-à-dire que l'un de ses arrières arrière grand-père n'est autre que Pierre Get, l'un des deux frères "inventeurs" du Pippermint. Il a, un peu comme son aïeul, sur un territoire néanmoins nettement plus réduit, longtemps sillonné la région à cheval. Il est actuellement médecin à Castres. |
L’auteur Le château d’Aguts a été façonné par deux grandes familles de notre région : les Rigaud, puis les Davessens. Il leur doit d’être entré dans l’histoire du Lauragais et, par là, dans la grande Histoire. Lorsque nous l’avons rencontré, son portail d’entrée et sa cour intérieure disparaissaient sous un enchevêtrement d’arbres, de lierre et de pariétaires. C’est à la découverte d’archives oubliées sous un fatras d’ordures que nous devons la passion d’une recherche qui a conduit à ce livre. Il a été rédigé avec toute la précision historique que méritait un tel récit, sans négliger pour autant d’imaginer l’apparence et le caractère des personnages qui en sont les héros. Notre souhait serait que sa lecture fasse vivre le château d’une vie nouvelle dans la mémoire de nos visiteurs.
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Né à Sorèze le 15 Juillet 1879, Jean, a tout de suite pris ses marques dans ce petit village du Tarn, entre son père réfugié lorrain professeur au collège et sa mère si aimante, mais aussi entre ses frères Charles et Joseph et sa sœur Marie. Il quitte ensuite Sorèze pour poursuivre ses études en région parisienne. Quelques années plus tard, le voilà nommé au Lycée de Nîmes où il exerce en 1912 et 1913. Août 1914, c’est la mobilisation, puis le départ. Il vient d’avoir 35 ans. C'est son parcours et son histoire que l'on peut suivre depuis la mobilisation à travers les courriers échangés avec la famille . De nombreuses photos prises pendant les calmes. Il ne reviendra pas de ce conflit, son parcours s'arrête le 30 juin 1915...
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L’histoire n’est pas seulement le bréviaire des rois comme l’exprimait Saint-Simon, c’est aussi et surtout le bréviaire du peuple qui l’écrit et souvent la subit. Si les poux sont les puces du pauvre, l’insalubrité qui règne est la source de bien des maux, les rues de la bastide étant le dépotoir commun. L’hygiène, par la création du tout-à-l’égout, mettra fin à de bien pernicieuses nuisances. Dans un Lauragais peu à peu pacifié, l’activité économique grandissante ira de pair avec l’extension progressive des foires et marchés dont Revel bénéficiera fortement. Mais, là encore, la productivité agricole sera tributaire des intempéries et des caprices des éléments naturels. Cette activité économique, avec l’attractivité du Canal du Midi, aura une incidence majeure sur le développement des communications et sur l’établissement d’un service postal devenu indispensable. Avec l’amélioration du réseau viaire, la structure interne de la ville va changer, les rues s’élargissant, des esplanades se créant à la faveur de la démolition de remparts désormais inutiles. Tout bien sûr ne se réalisera pas sans de perpétuels conflits et des contestations souvent sujettes à des procès. Mais rien n’entravera la marche de la bastide qui l’emmènera, dans ce volume 3, aux portes de la Révolution Française et qui vous révèlera aussi bien d’autres thématiques que je vous laisse le soin de découvrir.
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« Sorèze de ma jeunesse »
Le rêve de l’enfance, mais ce n’était pas un rêve c’était plutôt la réalité, c’était notre « Guerre des boutons » de Louis Pergaud. Nous étions à la fois Lebrac, la Crique ou Camus des Longevernes et aussi l’Aztec des Gués, Migue la Lune ou Touegueule des Velrans, les bagarres en moins mais une espièglerie égale qui ne débordait jamais sur la méchanceté ou la vulgarité. « Sorèze de ma jeunesse », c’est une ode sentimentale à une époque révolue, un clin d’œil à la rue de mon enfance, cette rue de Castres devenue rue du Maquis, où les commerces qui n’existent plus aujourd’hui s’y côtoyaient nombreux, où chacun se connaissait, partageant avec l’autre ses joies comme ses peines et, pour nous, souvent le peu d’argent que nous avions dans nos poches. « Tabatou », Léon, Guitou, « Baraquet », Marius, « Margot », « Nono » et tant d’autres ont disparu depuis longtemps. Ils sont pourtant toujours présents à ma mémoire comme à celle de mes contemporains et c’est très bien ainsi car si le souvenir est une renaissance, les oublier serait pour eux une seconde mort. Je vous invite donc à me suivre, tout au long de ces lignes, dans ce Sorèze que vous n’avez peut-être pas connu mais qui pour moi fleure toujours bon les vacances et la vie d’autrefois… et la vie c’est comme les vacances, joyeux quand ça commence… et moins quand ça finit.
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Guy Arnaud, né à Revel en 1943, est le plus jeune fils Ancien élève du lycée de Revel, il a obtenu une licence et une maîtrise d'espagnol à la Faculté des Lettres de Toulouse. "J'ai longtemps attendu pour évoquer des heures que j'ai vécu mais dont je n'ai aucun souvenir. En revanche, elles m'ont toujours accompagné même si je ne les ai jamais évoquées publiquement. Toutes ces informations ne modifient pas fondamentalement celles que je tenais de ma proche famille. Au contraire, en les confortant, elles permettent de mieux cerner les responsabilités des criminels et de connaître le sort des victimes. Elles montrent aussi, et ce n'est pas le moindre intérêt car leur parole a été rare, comment les rescapés ont vécu la tragédie. De leur arrestation à leur libération en avril 1945, il est possible de les suivre dans leur univers concentrationnaire". |
Sur la trame et l’histoire locale au Moyen Âge, une œuvre de fiction mélant les connaissances actuelles à la vie de l’époque dans nos campagnes, l’auteur nous entraîne à la suite de nos protagonistes des profondeurs de la Montagne Noire à la vie et à l’espoir d’un avenir meilleur. Ce roman est basé sur des faits réels,
À François Rouzaud,
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VIENT DE PARAÎTRE